Pour planter une haie de Rosiers de 1,20 à 1,50 m de haut, il faut des variétés arbustives remontantes. Suivez ces quelques conseils pour la plantation et l’entretien.
Le choix est vaste : la plupart des variétés vigoureuses et les rosiers rugosa peuvent constituer des haies.
Pour une haie de 1,20 m, vous pouvez hésiter entre un Rosier à grandes fleurs, un à fleurs en bouquets, un Rosier ancien, ou des variétés décoratives par leurs fruits.
Si vous désirez une haie qui fleurisse durant toute la belle saison, choisissez une variété remontante à grosses fleurs ou à fleurs en bouquets.
Quelques variétés :
Certainement le rosier le plus florifère et rustique pour faire une haie
Ce rosier arbustif se couvre de grandes fleurs roses carminées sur un feuillage dense. Une particularité interressante au jardin bio, il est résistant aux maladies.
Les rosiers « paysages sans tailles » sont idéals pour créer des haies basses.
Quelle que soit la variété choisie, espacez les plantes de 60 cm, et veillez à ce que le point de greffe se situe à 3 cm au-dessus de la surface.
Fumez généreusement la terre lors de la préparation du sol.
Voir la plantation des rosiers à racines nues : Après la plantation, taillez le Rosier à 15 cm au-dessus du sol.
La première année, rabattez la haie avec des cisailles en automne et au début du printemps, pour lui donner un bel aspect et une hauteur correcte.
En début de saison, faites des traitements réguliers à la bouillie bordelaise.
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Le conseil d'amatxi :
Profitez d'une belle journée d'automne pour mettre en œuvre cette méthode employée autrefois dans les vergers, le chaulage des arbres avec du blanc arboricole. Dans les jardins et les vergers biologiques, le lait de chaux permet d'éviter l'utilisation des traitements d'hiver chimiques et polluants. Ce badigeon détruit les larves d’insectes et bloque les spores des cryptogames à l'abri dans les crevasses de l’écorce des arbres et les replis à la naissance des branches charpentières.
Après les semis spontanés de fin d’été, certains jeunes pieds de bourrache semblent attendre sagement le passage de l’hiver avant de prendre leur élan. Plus impatients, quelques-uns hasardent une généreuse floraison automnale. Tant mieux pour le Bourdon des champs !