Avant toute chose il faut trouver la cause de cette fuite.
— ce peut être l’ensemble du bassin qui travaille (peu de choses réalisables si ce n’est une surveillance et boucher les fissures dès qu’elles apparaissent).
— une racine d’arbre :
Il faut la ou les supprimer en faisant des coupes propres pour ne pas endommager l’arbre. Placer un barrage entre les racines coupées et le bassin.
— le gel après un hiver rigoureux.
Veillez par temps de fort gel à mettre dans l’eau de votre bassin des fagots de bois pour amortir l’effet de l’expansion de l’eau quand elle gèle.
— par beau temps vidangez le bassin nettoyez le. Repérez les fissures, même si elles n’apparaissent pas trop importantes, intervenez.
— une fois la fissure repérée, nettoyez là énergiquement avec une brosse.
— ensuite, à l’aide d’un burin et d’une massette agrandissez-la en forme de V.
— une fois ce travail fini, nettoyez la fissure agrandie à l’eau pour évacuer toutes les poussières.
— faites dans une auge un mélange de 2/3ciment et de 1/3 sable de sablage 0. vous devez obtenir une pâte molle et onctueuse non « coulante ».
— Remplissez maintenant la fissure avec ce mélange jusqu’au refus et lissez.
— posez sur votre rebouchage une toile grillagée
— remettez une couche d’enduit, lissez à nouveau et passez un coup d’éponge après une heure de prise selon le temps. Protégez votre travail de la pluie et du soleil.
La remise en eau dépendra de l’importance des travaux effectués.
Vous aimeriez créer un bassin, une fontaine ou animer votre jardin d’eau, ces pages peuvent vous intéresser.
Le conseil d'amatxi :
L’hiver dans l’univers confiné de la maison ou de l’appartement, la poussière s’accumule sur les feuilles de vos plantes vertes et obstrue les stomates (Orifices de la surface aérienne d’une plante destinés aux échanges gazeux).
Nettoyez les feuilles lisses ou cireuses avec une éponge juste humide. N’employez aucun produit ni les recettes plus ou moins farfelues (lait, bière, etc.) qui auront l’effet inverse de celui recherché.
L'image de la semaine
Voilà deux ans, les premières primevères officinales avaient pointé leurs petites corolles jaune d’or dès la mi février. Record battu ces jours-ci avec cette touffe de coucous particulièrement précoce, sur un talus il est vrai bien exposé. (Merci à Fernand jardinier du Marais poitevin.)