- Automne 2023 -
10 decembre 2023
Sans doute le plus spectaculaire, sinon le plus bluffant, parmi les grands voiliers du jardin. Le Paon du jour (Aglais io) n'a en effet pas son pareil pour surprendre son monde. Quel saisissant contraste entre son ténébreux profil brunâtre et l'éclat rougeoyant de ses larges ailes déployées !
Bien sûr, ce sont ses quatre gros « yeux » qui retiennent d'abord l'attention. À l'apex de chaque aile, leur pupille irisée joue avec le noir, le blanc, le rouge orangé et le bleu. On songe aux ocelles moirés du paon dont il tire son nom vernaculaire.
De quoi intriguer, voire effrayer les éventuels prédateurs ? En tout cas, si d'aventure les plus belliqueux donnent du bec contre ces étranges « regards », le Paon du jour sauvera l'essentiel : une aile esquintée peut-être, mais sans dommage pour les organes vitaux.
Il ne sera jamais trop prudent. Car si la plupart des papillons du jardin ont une espérance de vie limitée, de quelques semaines, lui fait partie des rares espèces au long cours - avec le Vulcain et la Citron notamment - qui traversent les quatre saisons en une seule génération. Né au printemps, quand ses chenilles sont assurées de trouver de généreuses touffes d'ortie, il butine tout l'été et jusqu'au bout de l'automne, pour passer l'hiver calfeutré à l'état adulte. Ce sont donc de « vieux » papillons rescapés qui émergent en février-mars, avec une seule obsession : s’accoupler. Et passer enfin le relai.
2 décembre 2023
Les jours sont de plus en plus courts. Avec les premières gelées nocturnes en prime ! N’empêche, certains après-midi ensoleillés, le jardin reçoit encore la visite de quelques papillons téméraires. Du moins ceux qui s’apprêtent à hiverner à l’état adulte, calfeutrés dans les haies ou les taillis.
Lors de ces ultimes vadrouilles automnales, le Vulcain, le Tircis et Robert le diable notamment se partagent entre bains de soleil et gourmandise au pied des pommiers. Vive le jus sucré des dernières pommes blettes ! Rien de tel pour stocker de l’énergie avant la longue diapause hivernale.
Dans deux ou trois mois, courant février, plus sûrement en mars, ils s’éveilleront avec les pissenlits, les ficaires et les prunelliers en fleurs. Il sera alors temps de voleter la prétentaine pour passer le relai à une nouvelle génération. Ce que la plupart des papillons familiers du jardin ont déjà fait en fin d’été, laissant le soin à leur progéniture de passer l’hiver à l’état de chenilles ou de chrysalides.
28 novembre 2023
Entre le jardin et la peupleraie attenante, les petits mammifères se sont aménagé quelques passages, sous la vieille clôture grillagée. Les jeunes individus apprennent vite à repérer ces discrètes « coulées ». Ils évitent ainsi de se retrouver coincés dans les mailles du grillage.
Sans doute né en fin d’été, ce jeune hérisson n’a pas encore connu le froid. Ni la disette. Novembre est encore si doux et humide ! Certes, les insectes se raréfient, mais il suffit de fouiller le lit de feuilles mortes ou le paillage du potager pour trouver chenilles, limaces, escargots et vers de terre. Sans compter les fruits au pied des pommiers.
L’été de la Saint Martin n’en touche pas moins à sa fin. Le vent du nord commence à piquer et les premières gelées nocturnes sont annoncées pour cette fin de semaine. Il va falloir sérieusement rechercher un abri. Pas de problème ! Au creux des haies, à l’arrière de la cabane où s’accumulent quantité de feuilles mortes chaque automne, à travers le tas de bois… Les cachettes ne manquent pas au jardin.
21 novembre 2022
Les après-midi sont encore si doux ! Alors, quand pluies battantes et violentes bourrasques font une pause, Madame Lasioglossum sp ne résiste pas à l’appel des derniers capitules de pissenlit. De quoi faire in extremis le plein d’énergie. Fécondée l’été dernier, il lui appartient en effet de passer l’hiver.
Mais il sera toujours temps de se calfeutrer. À l’approche des vrais froids. En attendant, elle peut compter sur son nectar préféré. Oh, mi-novembre, il est devenu parcimonieux. Juste assez pour accompagner les dernières petites (et discrètes) abeilles sauvages du jardin.
Car les pissenlits aussi vont entrer en dormance. Ils se réveilleront en février-mars pour accueillir les butineurs les plus téméraires. Dont Madame Lasioglossum sp qui, dès les premiers beaux jours, mettra les bouchées doubles. Pour mieux accomplir sa mission printanière : creuser et aménager un nid, pondre et approvisionner le couvain. Mais ça, ce sera après l’hiver.
19 novembre 2023
Encore une mouche mal aimée ! On aimerait lui trouver quelque vertu. Va pour pour ses qualités de butineuse. Sinon, la mauvaise réputation de la Pollénie du lombric (Pollenia rudis) tient surtout à son comportement automnal. Elle recherche en effet un refuge jusque dans les habitations pour passer l’hiver. Parfois en grand nombre. D’où son sobriquet, la Mouche des greniers.
Plus petite que la Mouche à damier, elle a également les yeux rouges et son abdomen présente un décor noir et gris argenté plus ou moins quadrillé. Mais son thorax hérissé de soies noires s’en distingue par une dominante dorée. Surtout chez les sujets les plus jeunes.
Enfin, comme son nom l’indique, hélas, la Pollénie du lombric est parasite du ver de terre. Les larves en pénètrent les galeries, via les turricules notamment, jusqu’à trouver un « hôte » aux dépens duquel elles vont se développer. À moins qu’un géophile ne les intercepte au passage.
15 novembre 2022
Finie l’abondance ! Dans le jardin plus que gorgé d’eau, même cosmos, dahlias, bourraches et zinnias ont lâché prise, dépenaillés à force de trombes et de bourrasques. Seules quelques sauges résistent encore. Mais il faut se faire une raison. Il n’y a plus guère de nectar à se mettre sous la trompe.
Heureusement, il reste les pommes au sol ! Après le coup de grâce porté par les tempêtes successives, il n’y a que l’embarras du choix pour le Vulcain. Cela dit, mieux vaut laisser les fruits fraichement tombés aux frelons asiatiques. À quoi bon être plus royaliste que le roi ! D’autant les pommes sont tellement meilleures après leur passage…
Certes, ils les ont profondément creusées, quasi entièrement évidées, mais il y reste assez de pulpe blette facilement accessible pour un papillon. Un jus sucré aussi revigorant que l’avait été celui des mirabelles puis des reines-claudes en août dernier. Juste retour des choses pour un des pollinisateurs les plus familiers du verger.
8 novembre 2024
Pluies incessantes, tempêtes à répétitions… Un automne à ne pas mettre un papillon dehors ! Mais les après-midi sont encore si doux. Alors, à la moindre percée du soleil, la Grande tortue (Nymphalis polychloros) recharge ses batteries sur un lit de feuilles mortes, un tronc de peuplier ou le laurier sauce de la haie.
Ce voilier de taille moyenne (50/60 mm d’envergure) présente une éclatante robe rousse tachée de noir et de jaune pâle. Il se distingue en outre par des bordures extérieures festonnées de lunules bleu vif surlignées de brun sombre.
L’heure viendra bientôt de rechercher un abri sûr pour les temps mauvais. Voilà en effet un des rares papillons à traverser les quatre saisons en une seule génération. Ce sont ainsi les adultes qui hivernent pour émerger en février-mars et passer le relai à une nouvelle génération au printemps. Il n’est alors pas rare de voir la Grande tortue sur le mirabellier en fleurs. Bien que la Grande tortue trouve généralement son ordinaire dans les suintements printaniers des jeunes bourgeons et, en toutes saisons, dans les écoulements de sève des écorces blessées.
4 novembre 2023
Passés déluge et coups de vent, à la moindre éclaircie, Monsieur Sympétrum strié (Sympetrum striolatum) part en chasse. Avec un piquet, une branche basse ou une feuille de ronce pour affut. Il y revient tour à tour, rarement bredouille, après chacun de ses raids éclair.
Libellule de taille moyenne, il se distingue par sa livrée rouge assez terne, nuancée d’orangé. Et surtout par une marqueterie thoracique très contrastée. Comme Madame, en effet, il présente une série de plaques latérales, jaunes, rouges, brunes, aux sutures noires bien marquées.
Il en va différemment sur l’abdomen. Chez Madame, sur un fond brun-jaune et gris-bleu, les segments sont solidement rythmés. Mais traits, lignes et points se dissipent ici dans une dominante rougeâtre délavé. À noter toutefois deux taches dorsales noires bien franches à la pointe de l’abdomen.
Chasseur inlassable, Monsieur Sympétrum strié sait aussi prendre le temps de longs bains de soleil. Comme ici plaqué contre un vieux piquet, au pied d’une haie. Parfaitement immobile. Mais toujours aux aguets.
Encore une mouche auxiliaire qui gagne à être (re)connue ! La Peleteria rubescens n’a pourtant pas de nom populaire. Il est vrai qu’elle n’est pas si courante. On peut d’ailleurs aisément la confondre avec la Tachinaire à pieds roux (Tachina magnicornis) également hérissée de soies épaisses sur un abdomen rouge orangé plus ou moins taché de pruine argentée.
Mais la silhouette est ici plus allongée et la bande noire médiane, moins large, n’est pas constituée d’une succession de losanges. Plutôt une suite de trois triangles effilés, le dernier se confondant avec la pointe noire poilue de l’abdomen.
Les curieux décèleront également des soies noires caractéristiques en lisière des yeux rouge-brun, sur une tête blanchâtre.
Comme la plupart de ses cousines tachinaires, elle parasite les chenilles terricoles de noctuelle. En déposant ses œufs au sol. À charge pour les larves de trouver « l’hébergement » ad hoc. D’y pénétrer pour s’en nourrir jusqu’à devenir elles-mêmes autant de mouches. Quelles noctuelles ? Il y en a tant et tant. La Peleteria rubescens reconnaîtra les siennes !
22 octobre 2022
On ne va pas se plaindre du retour de la pluie ! Chaleur et sècheresse à rallonge semblent prendre fin. Avec des nuits frisquettes en prime. Bref, voilà d’automne. Les dernières tomates auront désormais du mal à mûrir mais les salades de fin de saison apprécient… Les papillons d’octobre beaucoup moins !
Finis les généreux après-midi ensoleillés, du lierre aux asters, des cosmos aux picrides en passant par la menthe aquatique… Voilà venu le temps de migrer vers le sud pour la Belle-Dame et l’Azuré porte-queue notamment. Le temps de rechercher un refuge d’hivernage pour le Vulcain, le Paon du jour, le Citron et Robert-le-diable. Mais, pour la plupart des autres papillons encore en piste, les premiers froids seront fatals. Heureusement, piérides, soucis, cuivrés, azurés, hespéries, mégères, tircis et bien d’autres ont déjà passé le relai. Ce sont leurs chenilles ou chrysalides qui passeront l’hiver.
17 octobre 2023
Avec ses longs épis floraux bleu violacé, le Gattilier (Vitex agnus-castus), alias l’Arbre au poivre, évoque un peu le généreux buddléia. Mais, lesdits épis sont ici plus lâches et leurs petites fleurs un peu chiffonnées. Le feuillage surtout diffère avec des « palmes » à cinq-sept folioles élégamment lancéolées. D’un vert bien franc.
Cela dit, l’un et l’autre jouent les prolongations au fil de cet été qui n’en finit pas. Pour peu que les panicules fanées aient été coupées, la floraison est repartie de plus belle en cette mi-octobre. Avec Abeille charpentière et Bourdon des champs au diapason !
Et ce poivre alors ? Il suffit de froisser le feuillage pour en avoir un avant-gout… Mais ce sont bien sûr les petites baies qui sont traditionnellement récoltées. À des fins médicinales plus que condimentaires. Pour le traitement des troubles hormonaux. Les monastères d’antan en faisaient ainsi, dit-on, un pieux usage pour calmer les libidos intempestives. D’où les sobriquets de Poivre aux moines et d’Agneau chaste.
14 octobre 2023
En théorie, mi-octobre, les colonies du Bourdon terrestre ont périclité depuis quelques semaines déjà. La nouvelle génération sexuée a supplanté les bataillons d’ouvrières. C’est le temps des amours dont seules survivront les jeunes femelles fécondées. Les futures reines du printemps prochain. Dès lors, dans les couvains désertés, plus de bouches à nourrir. Et donc plus de collecte de pollen et de nectar ! Derniers accouplements, recherche d’un abri pour passer l’hiver… Bref, c’est l’automne.
Enfin, normalement. Car, depuis quelques jours, c’est comme si tout recommençait in extremis. Avec une escouade de bourdons affairés, notamment sur le massif d’asters, les pattes arrière chargées de luisantes pelotes de pollen. Comme aux plus beaux jours !
Est-ce une vieille reine qui, refusant de jeter l’éponge, recommence à pondre et s’entoure à nouveau d’une colonie ? Ou une jeune téméraire qui devance l’appel ? Le choc risque d’être rude la semaine prochaine avec la fin annoncée de l’anticyclone, le retour de la pluie et des températures fraiches (sinon froides) de saison. Le mirage automnal tournera sans doute court.
11 octobre 2023
Nos amis anglais l’appellent le Syrphe des marais. Comme toutes les mouches de son genre, l’Hélophile suspendu (Helophilus pendulus) apprécie en effet les prairies humides. Il y installe ses larves, dans les eaux chargées de matières organiques des baisses ou des fossés envasés.
Cela dit, devenu adulte, foin des flaques croupies ! De la fin de l’hiver au bout de l’automne, c’est un butineur raffiné qui apprécie nectar et pollen autant que les bains de soleil… Les uns n’empêchent d’ailleurs pas l’autre pour cet incorrigible adepte du farniente. Le voici sur une feuille de noisetier. Avant de visiter la Crépide fausse-épervière et le Lierre en fleurs.
Sa superbe livrée le distingue sans risque de confusion. Avec un thorax noir barré de gris et, surtout, un élégant jeu de taches jaunes abdominales. Sur fond noir, le jaune d’or s’y mêle au beige et à l’orangé.
Enfin, en bon syrphe, c’est un virtuose du vol stationnaire. Au point, d’où son qualificatif vernaculaire, de paraître « suspendu » dans les airs. Pour mieux sélectionner sa piste d’atterrissage. Pas question de laisser le butinage au hasard. Ni la sieste.
8 octobre 2022
Encore une mouche qui gagne à être connue ! Malgré sa petite taille, moins de 1 cm, on voit la Phasie crassipenne (Ectophasia crassipennis) un peu partout actuellement, au jardin comme dans les prairies alentour.
Il faut dire que son éclatante livrée est bien voyante. Et incomparable. Du moins celle du mâle. Avec un abdomen plat, particulièrement large, jaune d’or, souligné d’une épaisse bande longitudinale noire. La femelle est un peu plus discrète, avec deux larges demi-lunes latérales orangées et une pointe abdominale blanche sur fond noir.
Quel que soit le sexe, la Phasie se distingue encore par une tête plate démesurée, manquée par de gros yeux bordeaux, débordant très largement du thorax. On notera enfin la position de ses ailes, à demi relevées, lorsqu’elle butine. Des ailes à la naissance orangée puis fumées et parcourues d’épaisses lignes noires.
Voilà un insecte auxiliaire dont le jardin ne saurait se passer. La femelle privilégie en effet les punaises pour installer sa progéniture. Un œuf par cible. Les larves y pénètrent et s’y développent. Elles y passeront l’hiver, sous forme de pupes, pour émerger à la fin du printemps prochain.
4 octobre 2023
Ni le parfum de la Verveine citronnelle, ni l’éclat aérien de la Verveine de Buenos Aires. Modeste, la Verveine officinale (Verbena officinalis) garde le souvenir de ses ancestrales vertus dans ses multiples noms populaires : Herbe de tous les maux, Gérit-tout, Herbe aux sorcières, Herbe sacrée, Herbe à Vénus… Reléguée désormais aux bords des chemins, elle dresse également ses fines tiges ramifiées dans les parties enherbées du jardin.
Preuve, s’il en était besoin, qu’il n’est pas nécessaire d’être spectaculaire pour séduire les butineurs ! Filiformes, les épis floraux distillent ainsi leurs minuscules coroles au fur et à mesure de leur croissance, du milieu de l’été jusqu’au bout de l’automne. De délicates fleurs tubulées, épanouies en cinq lobes rose violacé, très pâles. Et si le regain du Trèfle blanc accapare les abeilles en ce début d’automne, la Verveine officinale, également stimulée par les pluies de fin d’été, fait le bonheur des papillons. Particulièrement des Azurés et des Cuivrés. Chacun ses goûts.
25 septembre 2023
Voilà une des abeilles sauvages les plus tardives du jardin. Chaque année, la Collète du lierre (Colletes hederae) attend sinon l’automne du moins la floraison du lierre pour émerger. D’abord les mâles, toujours en mouvements, prêts à en découdre et à se disputer, bientôt, les faveurs de ces dames !
Les deux sexes sont semblables et ne ressemblent à aucune autre abeille en cette toute fin d’été. Avec une pilosité dense et rousse sur le thorax, débordant largement sur la tête et la face. Le contraste est manifeste avec l’abdomen, noir et luisant, rythmé de bandes feutrées fauves, larges et nettement marquées.
Les femelles creusent et aménagent leur nid au sol. Des terriers indépendants, mais souvent regroupés en petites « bourgades ». Avec un petit terril conique pour chaque entrée.
Si le menu des adultes semble plus éclectique, l’approvisionnement des larves ne varie guère : nectar et pollen de lierre ! Pas de temps à perdre donc. Tout sera terminé dans quelques semaines
28 octobre 2022
Dans la série des abeilles-coucous du jardin, l’Épéole fallacieux (Epeolus fallax) apparaît à la toute fin de l’été. Comme sa cible attitrée, la Collète du lierre. Mais lui n’a pas de préférence alimentaire. Toutes les fleurs de saison lui conviennent. À commencer par les plus généreuses du moment. Les asters.
Petit gabarit (8-10 mm), thorax ramassé, abdomen conique, il se distingue surtout par une dominante noire et de larges taches latérales feutrées blanches. À noter un motif plus discret, plus ou moins diffus, à l’avant du thorax, commun à la plupart des abeilles du genre Epeolus : deux traits surmontés de quatre « pointes » dressées.
Une butineuse comme tant d’autres. Ou presque. Car, ce faisant, chaque femelle espionne les allées et venues de ses cibles. Se rapproche des nids sans crier gare. Et profite enfin d’une absence (collecte de pollen oblige) pour aller subrepticement y déposer ses œufs. Fallacieux ? C’est son lot. Ni plus ni moins que les autres abeilles-coucous sans doute !
Vivaces, annuelles, bisannuelles, vous aimez les fleurs, ces pages peuvent vous intéresser.
Les conseils d'amatxi :
Taillez les arbustes à fleurs: Éliminez les fleurs fanées et les branches mortes.
Protégez les plantes sensibles au froid: Ramassez les bulbes de dahlias et de glaïeuls, et mettez-les à l'abri du gel.
Après un nettoyage, installez des nichoirs: Offrez un abri aux oiseaux pour l'hiver.
Autres travaux :
Réparez les outils de jardinage: Profitez de cette période pour vérifier l'état de vos outils et les réparer si nécessaire.
Préparez votre matériel de jardinage: Rangez soigneusement votre matériel pour l'hiver.
En résumé, au début du mois de novembre, concentrez-vous sur la récolte, le nettoyage de votre potager, la protection de vos plantes et la préparation de votre jardin pour l'hiver.