Pour bien réussir les semis de coléus, suivez quelques règles simples et ces conseils pour les semer et faire ainsi des économies pour réaliser des massifs colorés.
Vous pouvez semer aussi des graines que vous aurez récoltées, mais les plants sont moins réguliers.
Si vous voulez utiliser de vieilles graines, assurez-vous de leur pouvoir germinatif.
Utilisez un terreau de bonne qualité, il doit être léger et bien retenir l’humidité tout en étant parfaitement drainant pour éviter la fonte des semis.
La lumière, l’humidité :
Pour les semis à l’intérieur de la maison des coléus la lumière est indispensable pour une bonne levée des semis et pour que les plantules ne soient pas trop effilées et donc sensibles aux maladies.
Les fenêtres situées au sud sont idéales, mais sans lumière directe du soleil.
Attention, à l’excès d’humidité aérez souvent les semis.
Le choix des contenants :
Le choix est vaste, plaque de culture, caissette, etc., tout peut convenir, du moment que les contenants sont très propres et désinfectés s’ils ont déjà servi.
Repiquez en godet vos jeunes coléus dès le stade quatre feuilles. Au bout de quelques semaines, pincez-les pour qu’ils développent de nombreux rameaux.
Vivaces, annuelles, bisannuelles, vous aimez les fleurs, ces pages peuvent vous intéresser.
Les conseils d'amatxi :
Pas facile de désherber les plates-bandes d'iris. La solution : Arrachez et divisez les touffes d’iris, conservez les plus beaux éclats et replantez-les dans une terre bien drainée même pauvre et ensoleillée.
Récoltez les graines de fleurs annuelles qui vous ont plu et après séchage complet dans un endroit sec et ventilé à l'ombre, stockez-les en sachet papier kraft.
Attention aux premières gelées ! rentrez les plantes fragiles (agrumes, plantes vertes sortiés l'été, etc.)
Surveillez l'état sanitaire de vos plantes, car ces conditions climatiques sont propices à l'apparition de maladies comme le mildiou, l'oïdium, la rouille, etc. Faites des traitements avec une décoction de prêle et avec un duo bouillie bordelaise + soufre.
L’Azuré porte-queue est un bel opportuniste. Voyez-vous comment il met à profit l’incision pratiquée par un bourdon terrestre pour accéder plus facilement au nectar de la sauge de Graham ?