La menthe indienne ou Satureja douglasii :
Une aromatique en cascade pour vos suspensions, potées ou jardinières
Vous joindrez l’utile à l’agréable avec l’étonnante menthe indienne retombant en une cascade de petites feuilles pouvant aller jusqu’à 1 m50 à 2 m. Cette espèce de sariette peut aussi vous servir à parfumer des salades d’été.
Culture et entretien de la menthe indienne ou Satureja douglasii
C’est une plante vivace qui est cultivée comme une annuelle pour les jardinières ou potées.
Après la saison vous pourrez récupérer la plante pour l’installer à l’abri du gel pour la replanter au printemps.
Le terreau doit être enrichi de compost mûr, mais sans excès. Le mélange terreux devra être drainant.
Il faut lui prévoir une situation ensoleillée. Elle supporte une légère mi-ombre.
Elle est plantée tous les 20 à 30 cm
Elle doit être arrosée régulièrement. Elle ne supporte pas une sécheresse temporaire en pot.
Elle ne supporte pas l’eau stagnante.
Lors de la plantation de la menthe indienne, pincez-la pour la faire ramifier.
En cours de culture, faites un apport de sang séché lors d’un arrosage.
Attention aux attaques de limaces, traitez avec des appâts utilisés en culture bio.
Vivaces, annuelles, bisannuelles, vous aimez les fleurs, ces pages peuvent vous intéresser.
Les conseils d'amatxi :
Pas facile de désherber les plates-bandes d'iris. La solution : Arrachez et divisez les touffes d’iris, conservez les plus beaux éclats et replantez-les dans une terre bien drainée même pauvre et ensoleillée.
Récoltez les graines de fleurs annuelles qui vous ont plu et après séchage complet dans un endroit sec et ventilé à l'ombre, stockez-les en sachet papier kraft.
Attention aux premières gelées ! rentrez les plantes fragiles (agrumes, plantes vertes sortiés l'été, etc.)
Surveillez l'état sanitaire de vos plantes, car ces conditions climatiques sont propices à l'apparition de maladies comme le mildiou, l'oïdium, la rouille, etc. Faites des traitements avec une décoction de prêle et avec un duo bouillie bordelaise + soufre.
L’Azuré porte-queue est un bel opportuniste. Voyez-vous comment il met à profit l’incision pratiquée par un bourdon terrestre pour accéder plus facilement au nectar de la sauge de Graham ?
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