Planter un rosier en conteneur vous assurera des rosiers florifères, en suivant ces quelques conseils.
Le choix est important pour la plantation :
Je vous conseille vivement de le faire dans une pépinière de votre région, car le porte-greffe est, sauf exception, adapté à votre sol.
Commencer à planter vos rosiers en conteneur dès que les feuilles sont complètement tombées et qu’ils entrent en repos végétatif. La période de repos de vos rosiers va selon les régions de novembre à mars.
Évitez de planter vos rosiers en conteneur dans une terre détrempée, par temps de gel ou de neige.
La culture en conteneur des rosiers vous permet avec quelques précautions de les planter toute l’année.
Si votre sol est trop sableux, apportez un peu de bonne terre de jardin.
Si la terre est lourde, ajoutez un peu de terreau et de compost bien mûr.
Préparation des plants en conteneur :
Défaites le chignon formé par les racines du bout des doigts.
Diminuez les rameaux d’un tiers, vous ferez la taille définitive en mars. Faites ces opérations avec un sécateur parfaitement aiguisé et désinfecté.
Le fond du trou doit être parfaitement défoncé pour permettre aux racines de descendre le plus profondément possible. Ils résisteront mieux à la sécheresse.
Les rosiers prennent une grande place dans votre jardin. Ces pages peuvent vous intéresser pour les multiplier, les tailler, les planter, etc.
Le conseil d'amatxi :
Profitez d'une belle journée d'automne pour mettre en œuvre cette méthode employée autrefois dans les vergers, le chaulage des arbres avec du blanc arboricole. Dans les jardins et les vergers biologiques, le lait de chaux permet d'éviter l'utilisation des traitements d'hiver chimiques et polluants. Ce badigeon détruit les larves d’insectes et bloque les spores des cryptogames à l'abri dans les crevasses de l’écorce des arbres et les replis à la naissance des branches charpentières.
Après les semis spontanés de fin d’été, certains jeunes pieds de bourrache semblent attendre sagement le passage de l’hiver avant de prendre leur élan. Plus impatients, quelques-uns hasardent une généreuse floraison automnale. Tant mieux pour le Bourdon des champs !