Originaire de l’Himalaya, le goji vous fournira des baies ressemblant à de petites cerises rouges riches en vitamines c et en oligo-éléments. Suivez ces quelques conseils pour le cultiver.
Le goji fait partie de la famille des Solanacées
C’est un arbuste au port caractéristique, pouvant atteindre 2m de haut.
Les feuilles caduques allongées sont d’un joli vert tendre.
Lors de la floraison, il émet des fleurs étoilées violettes disposées le long des tiges arquées
Les petits fruits rouge vif sont en forme de petites cerises allongées. Ils ont une saveur légèrement sucrée et un peu acide.
Le goji résiste à une température de -20°
Il faut lui trouver une situation ensoleillée
La plantation se fait dans un sol assez riche, drainant, avec un ph neutre.
la terre de plantation est amendée avec du bon compost très mûr.
Maintenez une fraîcheur au pied, mais sans excès.
Taillez régulièrement les rameaux pour lui donner une forme compacte, car il a tendance à pousser de manière échevelée.
la récolte se fait après deux ou trois ans après la plantation selon la taille du sujet. Après quatre ans de culture, le goji rentrera en pleine production.
les fruits sont consommés frais ou transformés par exemple en jus de fruits.
Les fruits du goji se font aussi sécher.
Le goji est très riche en antioxydants ; il vous dopera en cas de fatigue.
Pour concevoir votre verger, choisir vos arbres fruitiers selon l'espace disponible ou la nature de la terre de votre jardin, pour greffer, planter et entretenir ces pages peuvent vous intéresser.
Le conseil d'amatxi :
Profitez d'une belle journée d'automne pour mettre en œuvre cette méthode employée autrefois dans les vergers, le chaulage des arbres avec du blanc arboricole. Dans les jardins et les vergers biologiques, le lait de chaux permet d'éviter l'utilisation des traitements d'hiver chimiques et polluants. Ce badigeon détruit les larves d’insectes et bloque les spores des cryptogames à l'abri dans les crevasses de l’écorce des arbres et les replis à la naissance des branches charpentières.
Après les semis spontanés de fin d’été, certains jeunes pieds de bourrache semblent attendre sagement le passage de l’hiver avant de prendre leur élan. Plus impatients, quelques-uns hasardent une généreuse floraison automnale. Tant mieux pour le Bourdon des champs !