Avec de vieilles poutres de récupération, comment installer un massif de fleurs facile à cultiver.
Dessinez le massif de fleurs sur une feuille de papier pour visualiser l’ensemble.
Reportez les mesures sur le sol, et tracer au cordeau à l’emplacement du carré.
Plantez en terre quatre piquets pour matérialiser l’ensemble.
Tendez un cordeau et tracez avec un peu de ciment blanc ou de plâtre le long de la ficelle.
Ameublissez la terre à l’emplacement des poutres pour pouvoir avec un râteau niveler correctement le sol.
À la scie ou à la tronçonneuse (attention aux pointes qui pourraient endommager la chaine de votre tronçonneuse ou la lame de scie) coupez les poutres aux dimensions voulues.
Avec une mèche à bois, percez des trous de 10 mm de diamètre à chaque extrémité de la poutre.
Installez les morceaux de bois comme sur le plan.
Dans une tige de fer à béton de 10 mm de diamètre, coupez des morceaux de longueur égale à la hauteur de la poutre, plus 30 cm.
Avec une masse, enfoncez les tiges de fer dans les trous que vous avez percé jusqu’à ce qu’elles affleurent le bois des poutres.
Avec une agrafeuse, fixez sur le pourtour intérieur une bande de feutre de type géotextile.
Remplissez votre carré de poutres avec de la bonne terre de jardin mélangée avec du compost.
Vous pouvez semer directement des fleurs annuelles ou planter des vivaces.
Ne pas utiliser les anciennes poutres de chemin de fer, elles contiennent des produits cancérigènes.
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Le conseil d'amatxi :
Profitez d'une belle journée d'automne pour mettre en œuvre cette méthode employée autrefois dans les vergers, le chaulage des arbres avec du blanc arboricole. Dans les jardins et les vergers biologiques, le lait de chaux permet d'éviter l'utilisation des traitements d'hiver chimiques et polluants. Ce badigeon détruit les larves d’insectes et bloque les spores des cryptogames à l'abri dans les crevasses de l’écorce des arbres et les replis à la naissance des branches charpentières.
Après les semis spontanés de fin d’été, certains jeunes pieds de bourrache semblent attendre sagement le passage de l’hiver avant de prendre leur élan. Plus impatients, quelques-uns hasardent une généreuse floraison automnale. Tant mieux pour le Bourdon des champs !