Vous disposez de plusieurs méthodes pour semer vos potirons ou citrouilles. Voici en détail comment préparer et faire le semis.
Semis de potirons ou citrouille à l’abri au chaud :
Semez-le un mois environ avant sa plantation. Vous adapterez donc la date par rapport à votre climat, du 15 mars au 15 mai.
Des bacs ou terrines
Des godets de terre cuite.
Des petits pots fabriqués en papier
Préparez une terrine ou, mieux encore, quelques godets en terre cuite (permets d’avoir de belles mottes pour la plantation finale), et remplissez-les de terreau pour semis et bouturage que vous trouverez en jardinerie.
Déposez les graines couchées, sur la tranche, puis recouvrez-les de terreau. Arrosez sans excès.
Installez et conservez vos semis à 20 °C au minimum et à bonne luminosité.
Gardez les plants les plus précoces et les plus vigoureux.
Les plants sont installés au jardin quand le sol est suffisamment réchauffé lorsqu’ils ont atteint le stade 4 ou 5 feuilles.
L’astuce et le conseil du « père Narcisse » :
Une autre méthode simple et efficace si vous compostez vos déchets en tas ; semez quelques graines de potirons ou citrouilles au pied du tas. Leur développement est parfois là impressionnant !
Pour faire des économies ou semer vos légumes et fleurs favoris et même des arbres, Au fil des saisons, ces pages peuvent vous intéresser.
Les conseils d'amatxi :
Pas facile de désherber les plates-bandes d'iris. La solution : Arrachez et divisez les touffes d’iris, conservez les plus beaux éclats et replantez-les dans une terre bien drainée même pauvre et ensoleillée.
Récoltez les graines de fleurs annuelles qui vous ont plu et après séchage complet dans un endroit sec et ventilé à l'ombre, stockez-les en sachet papier kraft.
Attention aux premières gelées ! rentrez les plantes fragiles (agrumes, plantes vertes sortiés l'été, etc.)
Surveillez l'état sanitaire de vos plantes, car ces conditions climatiques sont propices à l'apparition de maladies comme le mildiou, l'oïdium, la rouille, etc. Faites des traitements avec une décoction de prêle et avec un duo bouillie bordelaise + soufre.
L’Azuré porte-queue est un bel opportuniste. Voyez-vous comment il met à profit l’incision pratiquée par un bourdon terrestre pour accéder plus facilement au nectar de la sauge de Graham ?