Conservation des fruits l’hiver :
Pendant des mois vous avez travaillé au verger, l’automne arrivé, c’est l’heure des récoltes de pommes, de poires, de coings, de noix et de noisettes. Maintenant, il faut les conserver pour les déguster tout l’hiver.
Quand récolter les fruits de garde :
Avant les premières gelées, quand les fruits arrêtent de grossir, il faut être vigilant. Ils se ramassent juste avant maturité quand ils se détachent facilement de l’arbre au niveau du pédoncule par simple rotation des fruits. (Tous les fruits tombés à terre seront éliminés et finiront en compote ou tarte).
La cueillette se fera délicatement après la rosée du matin et jamais par temps de pluie.
La conservation :
Le lieu devra être frais à température constante entre 2 et 6°. L’endroit doit être sombre et bien ventilé (important pour évacuer l’éthylène)
Une bonne hygrométrie est indispensable pour éviter le flétrissement des fruits.
Voir la conservation des poires.
Les fruits sont posés sur des clayettes de bois, qui auront au préalable été nettoyées à grande eau et séchées.
Évitez les journaux et autres cartons, mais préférez un lit de feuilles de fougères bien sèches.
Pour protéger vos plantes fragiles du froid, conserver les légumes et les fruits, ces pages peuvent vous intéresser.
Les conseils d'amatxi :
Pas facile de désherber les plates-bandes d'iris. La solution : Arrachez et divisez les touffes d’iris, conservez les plus beaux éclats et replantez-les dans une terre bien drainée même pauvre et ensoleillée.
Récoltez les graines de fleurs annuelles qui vous ont plu et après séchage complet dans un endroit sec et ventilé à l'ombre, stockez-les en sachet papier kraft.
Attention aux premières gelées ! rentrez les plantes fragiles (agrumes, plantes vertes sortiés l'été, etc.)
Surveillez l'état sanitaire de vos plantes, car ces conditions climatiques sont propices à l'apparition de maladies comme le mildiou, l'oïdium, la rouille, etc. Faites des traitements avec une décoction de prêle et avec un duo bouillie bordelaise + soufre.
L’Azuré porte-queue est un bel opportuniste. Voyez-vous comment il met à profit l’incision pratiquée par un bourdon terrestre pour accéder plus facilement au nectar de la sauge de Graham ?
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